Kilroy s'oppose à la Chimiothérapie.
« La chimiothérapie ne guéri personne, c'est un placébo : ceux qui ont été guéri après un tel traitement le doivent uniquement aux hormones du bonheur ! »
Le but de cet article est de partager le point de vu de Sc. Kilroy concernant l'application de la chimiothérapie en guise de traitement contre le cancer.
La stabilité morphologique.
Les réactions chimiques des sécrétions du cerveau, émanant habituellement des émotions, ont des effets à long terme. La stabilité morphologique du corps humain dépend des informations transmises par le cerveau. En cas de perturbation, une mutation indésirable des cellules concernées peut survenir ; c'est ce qu'on appelle un cancer. Par déduction logique, tant que la perturbation persiste, les protéines concernées ne peuvent se reformer correctement. Même si une cellule retrouvait miraculeusement sa forme initiale, tant que les signaux restent perturbés, la régression se poursuivra.
La radioactivité introduit davantage de parasites entre le cerveau et les organes touchés. Quant à la chimiothérapie, elle détruit les cellules, obligeant le cerveau à les recréer malgré le parasitage (la "tâche"), ce qui aggrave les zones affectées. D'une part, les cellules se reformeront immédiatement avec les défauts causés par ces parasites, au lieu de subir une modification morphologique graduelle ; d'autre part, le processus demande plus d'énergie, ce qui freine la guérison. Plus un corps est fatigué, plus il est difficile pour la personne de retrouver un état de joie.
Le processus naturel de guérison.
Ce sont les résidus de certaines sécrétions du cerveau qui forment des taches sur le cerveau. Le cerveau possède une immunité naturelle contre ses tâches : la réaction chimique suivant la sécrétion d'ocytocine, de sérotonine, de dopamine, ou d'endorphines. Lorsqu'un cancer guérit, nous devrions voir les effets de cette réaction avec une tache grossissante en devenant de plus en plus transparente.
La guérison des cellules dite «cancéreuse» (ou cellule impactée par le parasitage) ne peut être faite que si la tache est suffisamment diluée pour ne plus créer d'effet parasite. Certaines sécrétions du cerveau permettent de se "laver", faisant en sorte que la tâche se mette à grossir tout en étant diluée et filtrer graduellement. Mais si ce processus manque d'énergie, alors la tâche ne diluera pas suffisamment pour la filtrer ; le cancer devient généralisé par le processus de guérison.
La tâche grossie dans le processus de guérison, mais si ce processus est trop lent ou ralenti, l'accumulation se poursuivra et l'effet de parasitage s'étendra à d'autre organe ; les cellules sont parasitées en fonction de l'endroit où est située la tache.
Traitement d'exception.
Bien qu'un cancer est provoqué par un effet parasite, il peut arrivé qu'une substance étrangère (p.ex: graphène) puisse aggraver la condition et provoquer les symptômes d'un cancer. Dans de tel cas, un traitement adapté de désintoxication s'impose.